Nov 18

PLANIFICATION FISCALE INTERNATIONALE, UNE BESOIN ACTUELLE DANS LES ENTERPRISES MEXICAINES

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La planification fiscale est une nécessité évidente de toute entreprise parce qu’elle améliore l’efficience des ressources générées dans l’intérêt direct des actionnaires, employés et consommateurs. Existe différents niveaux de planification, en fonction des besoins et la taille de chaque transaction, toutefois, dans cet article, nous discuterons de cette question de la planification fiscale internationale du point de vue des entreprises ou les opérations peuvent réaliser d’importants bénéfices financiers, s’il y-a en place, les stratégies appropriées.

Malheureusement, il faut dire que cet excellent outil ne s’applique pas encore dans beaucoup d’entreprises mexicaines, soit par ignorance ou par la croyance erronée que leur coût est très élevé.

Ici, nous espérons identifier les points les plus importants à considérer lors de l’évaluation de la faisabilité ou non de sa mise en œuvre.

Les résultats positifs de sa mise en œuvre sont basés sur l’établissement d’un objectif clairement identifié, et de la formation d’un groupe de travail qui connaît les possibilités et les limites des opérations dans le cadre juridique tant national qu’international.

Par conséquent, pour obtenir le résultat souhaité, il est extrêmement important que tous les secteurs de l’entreprise soient impliqués dans le processus de la planification, mais il faut une interpénétration total et absolue entre le secteur finance et le domaine juridique, qui, malheureusement, montrent souvent une sorte de divorce dans le processus décisionnel.

La formation d’une structure opérationnelle générée par un système d’opérations distinctes (par centre de coûts par exemple), mais liées à leur tour par un organe de surveillance et control, a été l’une des solutions les plus utilisées pour les moyennes et grandes entreprises, mais qui n’est pas limitatif pour les petites entreprises ou même des particuliers, ceci afin de réduire les coûts et même changer les bases d’imposition.

Maintenant, il est clair que si ces stratégies ne sont pas correctement appliquées, les dégâts seraient plus importants que si on aurait procédé sans aucune stratégie pour commencer.

Cependant, une planification professionnelle donnera de bons résultats.

D’abord, nous devons comprendre quels sont les principaux objectifs à poursuivre dans la planification fiscale internationale, et qui sont en générale :

Éviter la double imposition qui pourrait surgir dans l’expansion des opérations.
Obtenir le report correspondants au paiement de contributions
Diminuer la charge sur les dividendes, consolider pertes ou localiser l’opération dans des juridictions qui facilitent les opérations financières
La simple structuration efficace de l’entreprise.

Si votre entreprise a certaines de ces nécessités, alors on doit penser dans la possibilité d»explorer atour de l’utilisation de ces outils.

La réalisation de ces objectifs peut se réaliser pourvu que la manière dans laquelle on effectue le plan pour l’obtenir remplisse trois principes de base:A) que le plan s’inscrit dans le cadre de légalité tant nationale comme internationale B) que ce dernier s’avère rentable au moyen et longue terme et, C) qui le plan produit de la certitude tant pour le groupe, comme à ce qui est l’administration fiscal des pays où les opérations sont établis.

Pour y parvenir, il est nécessaire d’analyser les effets juridiques et fiscaux dans le choix du territoire dans lequel l’opération sera la meilleure alternative pour la constituer, ou l’entité qui assurera son fonctionnement et la forme comme cette opération sera financée.

À cette fin, l’équipe qui a effectué la planification doit être multidisciplinaire, sans doute, étant donné que dans ce processus devraient être observés au moins 4 domaines clés, financier, juridique, fiscal et comptable.

Une fois formé ce groupe on doit analyser les aspects de la législation interne, parce qu’elle contient deux ensembles de règles, appelées règles anti-abus et ceux qui cherchent à éviter la double imposition en faveur d’un investisseur national qui a des revenus ou gains provenant de sources étrangère, et que son dû application est le moyen d’obtenir les avantages recherchés.

Dans le premier groupe, nous avons des mesures qui ont été mis en œuvre un peu partout dans le monde, principalement par les pays membres de l’OCDE (Mexique ne fait pas exception) qui suivant ses directives (qui ne sont pas encore obligatoires ou contraignantes pour ses membres, mais elle établie une référence est il est considéré comme très important, au même titre que une sorte de «loi convenable»), ils ont appliqué au moins les mesures suivantes:

Transparence fiscale: c’est quand un investisseur se bénéficie d’avantages fiscaux pour les opérations internationales, mais qui en apparence sont obtenus par une ou plusieurs entités situées dans des territoires différents ou ils sont fiscalement avantageuses.

A travers de ce système il est recherchée que lorsque l’administration fiscale estime que l’investisseur ou un partenaire a le pouvoir de contrôle, le contrôle direct ou indirect sur ces entités, ces opérations pourraient être décrites comme une sorte de simulation, et alors le voile corporatif va disparaître, de tel sorte que on fini par charger directement le partenaire qui obtient des avantages fiscaux et non aux entités cotées.

Prix de transfert: Les groupes d’affaires, célébrai nombreuses opérations (dites «intra-groupes»), qui peut générer un préjudice aux autorités fiscales parce que ils érodent la base imposable obtenue par l’obtention d’avantages fiscaux, l’ampliation des dépenses, qui en opérations indépendantes seraient plus faibles, ou l’obtention de revenus, qui de manière similaire, comme opérations indépendantes, dans l’obtention de revenus aurait pu être plus grandes.

Grâce à ce système, les administrations fiscales disposent d’un outil pour qualifier ces activités et voir si les coûts ou les bénéfices de celles-ci sont dans la fourchette de ce qui aurait été, de les tenir avec des entités indépendantes, et si non pour être en mesure de réclamer la taxe non payée à la suite de ces stratégies.

Sous-capitalisation: Dans les transactions intra-groupe, il est commun pour une société de financier à une autre, mais au lieu de le faire par capitalisation, il le fait par un prêt, ce qui peut apporter plus des bénéfices (par la via de la obtention de intérêts, au lieu de dividendes, ce qui est fiscalement moins cher, ou que la société qui paie l’intérêt fait la déduction, dans ca comptabilité, de cette dépense, ce qui ne passe pas avec les dividendes versés). Ces opérations ne sont pas nécessairement illicites ou préjudiciables, mais en utilisant cet outil, les Etats mettent une contrainte sur ces opérations de prêts, de sorte que le montant des intérêts au-delà de ces limites peut être reclassé par les autorités, comme dividendes, et quand ils sont au-delà de cette limite, l’excédent est considéré comme un dividende.

Paradis ou oasis fiscaux: Au sein d’un groupe d’affaires, existent des entités qui peuvent être situées dans des zones ou territoires ou les impôts sont faibles ou ils n’existent pas.

De même il ce peut, qu’entreprises, dans ces territoires, accordent des avantages fiscaux au-delà de la généralité, et sont généralement situées dans des régions dont les entités qui les desservent sont intragroupes financiers ou professionnels (recherches pour leur refus de divulguer des renseignements aux autorités fiscales d’autres pays).

À cette fin, l’OCDE a élaboré des lignes directrices avec des critères claires pour identifier ces zones, et des recommandations pour les pays membres à inclure dans cette liste, comme part de son cadre juridique fiscaux interne.

De nombreux pays appliquent des taux très élevés aux transactions bâties avec ou dans les territoires des ces pays au moment du rapatriement des bénéfices, ceci afin de décourager leur utilisation.

Cependant, toutes ces mesures ont des exceptions, et lorsque les opérations sont bien étudiées, peut essaiment les permettre, s’ils sont bien dépouillés, de les effectuer sans risque.

L’autre ensemble de règles internes sont ceux qui poursuivent à éviter que les investisseurs nationaux qui obtient profits à l’étranger, l’application, à son détriment, de la double imposition fiscal internationale, et prévoit la possibilité, en fonction de chaque pays, en tenant compte de l’impôt étranger payé à titre de charge et de déduire l’assiette de l’impôt dans leur pays d’origine, ou, mieux encore, prenez la taxe payée à l’étranger, a son crédit ou bien soustraire la taxe qui doit être payée directement dans son pays par ces revenus.

Analysés les aspects internes, le groupe de planification devrait maintenant analyser et envisager, le cas échéant, les règles d’accord (visant à éviter la double imposition qui leur pays d’origine réussit ou signe avec autres pays dans la définition des opérations ou des entités soumises à une certaine planification future ), qui par cette analyse, seront correctement interprétés par la portée de l’accord convenu , en cherchant par là que les opérations soient conformes aux règles qui le régissent, et de récolter les bénéfices qui sont contenues et admis la dedans.

Ce qui précède, ne présente pas une plus grande complication, si vous avez ce grouped’experts dûment communiqués, pour aider à ce que l’objectif financier soit présent dans un cadre légal correct et certain.

Un aspect important est que le plan, une fois établie, doit être souple, en vertu de pouvoir arriver avec succès au but financier et fiscal entrevus, étant donné que dans le monde la structure fiscal est très dynamique, et doit alors s’adapter aux nouveaux changements et besoins, pour accomplir ses objectifs envisages. On dit que « ce qui est fiscal est financier », et est exact.

Une entreprise, par rentable qu’on pense qu’il est, ne doit pas négliger le coût fiscal de son opération, parce que dans le cas contraire peut voir diminués ses résultats. La planification fiscale internationale est aujourd’hui un outil qui peut donner hauts résultats financiers. Si votre entreprise (même si ce n’est pas une société de portefeuille) est établi dans une juridiction fiscale étroit comme il est le Mexique, et n’a pas considéré cet outil comme une option, peut-être il est grand temps de le faire.

Si vous avez déjà mis en œuvre le procès et il n’a pas donné les résultats attendus, avant de revenir à un schéma dans lequel la société se trouvait avant de l’établissement du plan, il est recommandable de permettre à une nouvelle équipe, d’analyser sa conformation et le cas échéant, apporter les changements nécessaires Il ne faudrait pas penser a priori qu’une planification de cette nature s’avère élevée quant au coût, et par conséquent, fermer sa mise en œuvre, parce que l’investissement initial en temps et ressources, s’il a été dûment fait, aura un retour très satisfaisant au future, qui sera vu dans les résultats obtenus et les économies registrées, par ailleurs il aura aussi de l’épargne important dans le maintien administratif pour amener l l’opération a bon port.

Au cas où vous êtes intéressés par un projet de cette nature ou de réviser ce qui vous aves aujourd’hui à l’heure actuelle, vous êtes invités à nous contacter, nous avons l’équipe et le réseau international qui est requis pour vous appuyer.

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